Faune: La femelle Sifaka sensible à l'environnement
Faune: La femelle Sifaka sensible à l'environnement |
Mardi, 07 Mai 2013 |
L'écoféminisme innée chez les lémuriens est démontré par la sensibilité de la femelle Sifaka sur l'environnement. Autrement dit, les Sifaka femmes sont sensibles à leur environnement, selon un ouvrage publié par l'American Journal of physical anthropology, ce dernier ayant effectué des travaux antérieurs chez les primates. Sur ce, les chercheurs d'avancer que la taille du corps varie souvent avec des paramètres écologiques liés à la ressource ou la disponibilité de l'énergie dans l'environnement. Cette relation peut être différente pour les hommes et les femmes dont l'accès aux ressources a une plus grande importance pour le succès de la reproduction chez les femelles. Les chercheurs ont testé l'hypothèse selon laquelle la masse de corps féminin peut être un encadrement plus serré par rapport à celle masculine par des variables écologiques. Ainsi, la masse du corps féminin peut réagir plus fortement à l'évolution des variables écologiques, c'est-à-dire, la population spécifique à la masse des femelles peut varier à travers un gradient écologique. Plus précisément, l'ouvrage est né en étudiant la relation entre les variables climatiques et la masse corporelle selon le sexe dans Propithecus, un genre dans lequel la masse corporelle Espèce spécifique a déjà été démontrée de façon significative avec les variables climatiques. L'ouvrage a monté des données de 733 sifakas sauvages utilisés pour identifier la masse corporelle selon le sexe. Pour 27 populations représentant les neuf espèces de sifakas décrits, les données climatiques pour chaque population sont tirées de la base de données WorldClim. La masse corporelle chez les deux sexes est significativement corrélée avec des précipitations annuelles et nombre de mois secs. De plus, les coefficients de détermination sont toujours plus élevés pour les modèles féminins, et les coefficients pour chaque variable climatique sont plus élevés pour les femmes dans tous les modèles importants. Ces résultats confirment les deux hypothèses testées, ce qui indique que les forces écologiques peuvent avoir un impact plus important sur la masse de femmes que d'hommes sur la masse chez les primates. R.V. La Gazette |