Hymne à l'amour MAX RANDRIANTEFY

Publié le par Alain GYRE

 

HYMNE A L’AMOUR MAX RANDRIANTEFY 

Vendredi, 14 Février 2014

Saint Valentin, la fête de l’amour. Ce fort sentiment qui est une élévation de l’esprit à aimer quelqu’un d’autre que soi, que ses parents ou même Dieu.

Effectivement, pourquoi ne pas sublimer cette transcendance capable de rendre meilleure une personne ? Oui, faisons une fête pour le plus beau cadeau que Dieu nous ait donné qu’est cette capacité d’aimer… Alléluia.

HYMNE A L’AMOUR

 

Ecrivons et chantons un hymne à l’amour

Pour qu’à jamais vive la passion dans nos cœurs

Porteurs de ces gerbes fleuries aux belles senteurs

Auteurs de ces émois de tendresse de toujours.

 

Il faut se réveiller de cette léthargie

Ennemie de ces envolées d’émotion

Accueillons le rai du matin qui séduit

La vie par le concours de son pygmalion.

 

Plaignons ce pauvre hère qui ne sait pas aimer

Réfugié dans les remparts de son confort

Où dort l’essence sensible d’un être étouffé

Prisonnier de la peur bien pire que la mort.

 

Vivre comme si on ne devait jamais mourir

Les rires seront les transports de nos âmes libres

Ivres de mélopées amoureuses qui délivrent

Du givre prison des cœurs et de ses délires.

 

Dérivons au gré de nos passions en flammes

L’âme généreuse habite dans nos libres pensées

Elevée  par l’envol des cœurs ensoleillés

Couvée  par l’ange du désir des hommes et femmes…

 

MAX RANDRIANTEFY 

La Gazette

 

HYMNE A L’AMOUR MAX RANDRIANTEFY 

 

 

Vendredi, 14 Février 2014

 

Saint Valentin, la fête de l’amour. Ce fort sentiment qui est une élévation de l’esprit à aimer quelqu’un d’autre que soi, que ses parents ou même Dieu.

Effectivement, pourquoi ne pas sublimer cette transcendance capable de rendre meilleure une personne ? Oui, faisons une fête pour le plus beau cadeau que Dieu nous ait donné qu’est cette capacité d’aimer… Alléluia.

 

HYMNE A L’AMOUR

 

Écrivons et chantons un hymne à l’amour

Pour qu’à jamais vive la passion dans nos cœurs

Porteurs de ces gerbes fleuries aux belles senteurs

Auteurs de ces émois de tendresse de toujours.

Il faut se réveiller de cette léthargie

Ennemie de ces envolées d’émotion

Accueillons le rai du matin qui séduit

La vie par le concours de son pygmalion.

Plaignons ce pauvre hère qui ne sait pas aimer

Réfugié dans les remparts de son confort

Où dort l’essence sensible d’un être étouffé

Prisonnier de la peur bien pire que la mort.

Vivre comme si on ne devait jamais mourir

Les rires seront les transports de nos âmes libres

Ivres de mélopées amoureuses qui délivrent

Du givre prison des cœurs et de ses délires.

Dérivons au gré de nos passions en flammes

L’âme généreuse habite dans nos libres pensées

Élevée  par l’envol des cœurs ensoleillés

Couvée  par l’ange du désir des hommes et femmes…

 

MAX RANDRIANTEFY 

La Gazette

Publié dans Poèmes malgaches, Poèmes

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